Jeux érotiques
#Fist fucking #Fantastique #Mythologie
Le monde du hentai ne bouge pas que dans les jeux vidéos, le bon vieux format du mangas papier reste toujours d’actualité. Il aura donc fallu beaucoup d’audace à Hot manga, rare éditeur de hentai français non censuré pour sortir « Jeux érotiques ». En effet cet opus de Kazumi Amano est réputé par ses lecteurs pour faire partis des collections assez hard de l’auteur. Divers thèmes tabous sont abordés dans ce mangas tel que le fist fucking par exemple, ainsi que des insertions profondes de divers objets ou encore des pénétration par des créatures XXL. L’on pourra noter une qualité de dessin irréprochable et tout en finesse (malgré les scènes assez « bestiales » par moments) de la part de l’auteur.
Avant l’intervention de Hot manga, ce manga n’était disponible qu’en version Japonaise, grâce à l’unique maison d’édition: Kaiôhsha. C’est la seule maison d’édition qui a acceptée de publié ce second opus de l’auteur au vus des thèmes abordés qui sortent un peu de l’ordinaire dans ce manga. Kazumi Amano nous confie même à la fin de son manga: « J’avais toujours voulu essayer de dessiner une histoire de fantasy et d’autres mettant en avant l’utérus. Croyez-moi, je suis pleinement satisfait d’avoir pu me lâcher et laisser libre cours à mon imagination, ce que d’autres maison d’édition ne permettent pas toujours. »
« Hot manga, rare éditeur de hentai français » « Hot Manga » n’est pas l’éditeur, mais le nom de la collection. Quant à l’éditeur il s’agit d’IDP, qui été connu pour sa collection « Boy’s love », et qui était spécialisé dans le « yaoi ».
Et IDP n’a, en un sens, pas fait preuve de beaucoup d’audace dans ses choix éditoriaux, puisque pour sa collection Boy’s Love autant que pour Hot Manga, IDP a acheté les droits de publication qu’à un seul et même éditeur japonais. Ça leur permet de publier pour moins cher et sa réduit le risque, mais ça réduit aussi la qualité parce qu’ils ne choisissent pas vraiment les meilleurs œuvres. C’est ce qui explique que la qualité des « Hot Manga » semble inférieure à celle des « 100% Sans Interdits ».
Quant à « Jeux érotiques », il faut quand même préciser qu’il est divisé en deux histoires. C’qui n’est pas un problème en soit , mais qui, on vu du genre un peu différent des deux histoires, pourrait déplaire au lecteur. On en a une dans le cadre classique et « réaliste » du lycée, l’autre dans le cadre de la fantasy, avec les monstres tentaculaires et tout ça. C’qui les rassemble, c’est la représentation d’insertion massive.
Deux petits points encore :
– IDP a oublié de dé-censurer les deux visuels en couleurs, à l’ouverture du manga
– dans la seconde histoire, on a la représentation d’un personnage « loli », qui n’est pas représenté ayant des relations sexuels, mais qui « regarde » et « participe » finalement à celles-ci, ce qui … ben, pourrait être discuté.