Zosan Fanfiction: Si différents…Mais si proches…Une nouvelle FF Yaoi!

Du Zosan en Fanfiction!

Nouveauté rime avec Zosan! En effet après la fanfiction Souffle de vie qui est déjà bien entamée, HistoiresInterdites nous proposent de découvrir sa nouvelle Fanfiction. Mais cette fois ci, comme les plus grands fans ont reconnu du Lawlu les autres reconnaîtrons le Zosan. Pour soutenir cette auteure c’est par ici: HistoiresInterdites .

Des mochis couleur sang [ Chapitre 1 ]

Tokyo, époque actuelle.

Je m’appelle Zoro, j’ai 23 ans et je travaille. La vie en communauté n’était pas vraiment faite pour moi. Tout ce monde, ces gens qui vous regarde de travers…Faut dire que j’ai un passé de mauvais garçon. Quand j’étais petit je me battais tout le temps et pour rien. Mes parents m’ont abandonnés à la naissance de toute façon ça voulais dire que personne ne voulait de moi n’est-ce pas? Enfin bref, je me battais à l’orphelinat déjà si bien que personne ne voulait m’adopter. En même temps un gamin qui s’amuse avec des couteaux y’a pas moyen que quelqu’un l’adopte. J’y suis resté jusqu’à mes  18 ans. A mes  18 ans je suis enfin sorti de ce trou à rats pour faire ma vie. J’ai cherché des petits boulots et j’ai finis par en trouver un à peu près stable au bout d’un mois. Dans un restaurant « Le Baratie » ils recrutaient un homme pour faire la plonge. C’est las bas que je l’ai connut…

Une charmante tête blonde était dos à moi en train de parler à mon patron:

-Hey vieux shnock! Pourquoi tu m’as pas demandé à moi pour faire la vaisselle!  *bougonnant*

-Morveux t’as dejà des choses à faire la journée j’te rappelle que tu va au collège! J’veux pas d’un morveux dans les pattes la journée! Tu aides déjà à la cuisine quand tu peux t’es bien trop encombrant dejà haha! 

Le vieux s’amusait à foutre en rogne le gamin ou la gamine âgé de  15 ans devant moi. Faut dire que de dos la silhouette prêtait un peu à confusion, des cheveux blonds qui sentait le karité, une taille fine et des hanches petites mais des fesses légèrement rebondit. Seule la voix pouvait mettre un doute lorsque on le regardait de dos…Les deux compères se râlaient dessus  tandis que je faisais la vaisselle juste dérrière eux. Soudain, la tête blonde se retourna vers moi et je pus enfin voir que c’était un mec. Il me fixa de ses yeux noirs arrondis, de ses fines lèvres avec son petit bouc de bébé sur le menton et j’eus un réflexe de gamin. Je me ms à pouffer de rire tout en le regardant…C’était quoi ces sourcils en vrille putain? 

-Qu’est-ce que t’as le plongeur à rigoler? *s’énerva le blond*

-Rien rien…Je suis désolé je…*La le vieux se mit aussi à rire*

-AHAHAH Sanji tes sourcils font encore rire! Tu devrais faire quelque chose!

-Zeff! Je t’ai deja dis que c’était de naissance putain! Vous me saoulez tous! J’me casse.

Le blond parti en Rogne du restaurant et je m’excusais auprès du patron.

-Pardon patron…Je n’aurais pas du rire.

-Allons Allons Zoro t’inquiète mon fiston est un peu susceptible mais il est gentil ne t’en fais pas.

Le vieux ne semblait pas  s’inquiétait de ce qui venait de se passer. Il avait l’air plutôt sympa. D’ailleurs quand il apprit que ça faisait un mois que je dormais dehors, il finit par m’inviter à dormir chez lui. J’hésitais à accepter puis il fini par me convaincre en me disant que ça ferait du bien à son fils de côtoyer autre chose que des filles intéressées uniquement par son talent ou son argent. Apparemment le blondinet avait du mal avec les mecs et préférait de loin les filles à tous les niveaux. Il a même ajouté:

-Et puis t’as l’air robuste et sportif si tu peux l’entraîner à être fort ça lui fera pas de mal!

-D’accord patron, merci beaucoup.

On finit donc la soirée après un service plutôt difficile au vu des gouttes de sueurs des serveurs et du nombres de couverts à laver. Même moi je commençais à fatiguer. On termina donc vers les  1h du matin. Le patron me demanda donc de le suivre jusqu’à chez lui. Une grande maison avec plusieurs pièces sur deux étages avec un beau jardin qui l’entourait, ce n’était pas non plus gigantesque mais c’était vraiment jolis et moderne. Mes yeux n’avaient jamais vus ça de près…Mais une douce odeur se dégageait du rez de chaussé. Une douce odeur sucrée qui titillait mes narines. Zeff sourit et ouvrit la porte: 

-On est rentré! 

-Bienvenue à la mai… *La tête blonde se figeât dans les escaliers et fusilla du regard Zeff puis Zoro*

-Sanji, avant que tu t’énerve il n’avait nulle part ou aller. Donc on ne laisse pas quelqu’un dehors au froid avoir faim.

La tête blonde ne trouva rien à redire aux dires du vieux et descendit les escaliers pour s’approcher de moi, me toisant du regard avec un air supérieur. Il plissa les yeux et  me dis: 

-Bienvenue à la maison marimo… *avec un fin sourire aux lèvres*

-Je m’appelle Zoro, enchanté Sanji.

-Pour moi ça sera Marimo *il tire la langue d’un air enfantin puis remonte les escaliers disparaissant de notre vue*

Je fût surpris de voir un doux sourire sur le visage de Zeff puis il me fît visiter le rez de chaussé: Couloir d’entrée, Salle à manger à gauche, cuisine à droite, toilettes au bout du couloir. Il se dirigeât vers la salle à manger et sourit en regardant la table. Dessus était disposé 4 mochis de couleur rouge.

-Ah bah tu va pouvoir goûter la cuisine à Sanji. Tiens goûte.

Il me tendis l’assiette et je pris un mochi en main, le détaillant sous toutes les coutures. La douce odeur sucrée venait bien de là, aucun doutes. Je commença à croquer dedans et le gôut fût merveilleux. Je n’avais jamais rien mangé d’aussi bon et sans m’en rendre compte j’en pris un second, puis trois et…Je finis l’assiette sous le regard amusé de Zeff. Je m’excusa et il me dis de monter à l’étage et de demander à Sanji de me montrer ma chambre.  Je montas alors avec mon petit baluchon sur le dos et m’approcha la seule porte ou il semblait avoir de la vie derrière. En effet j’entendais Sanji s’amuser à regarder des vidéos sur internet visiblement. J’entendais des conseils pour « devenir le don juan préféré des femmes » et ça me fis sourire. Je finis donc par toquer à la porte. Le son fût coupé et sourcil en vrille m’ouvris la porte en plissant les yeux.

-Qu’est-ce qui y’a Marimo, on est vendredi là le seul soir de la semaine ou je peux me coucher tard et faire ce que je veux tu vas pas me bousiller ma tranquillité quand même. *soupire*

-Hmm Zeff m’as demandé de venir te voir sourcil en vrille, pour que tu me montre ma chambre. *Dis-je d’un air amusé*

-Saleté de Marimo viens par là! *grogna t-il avant de me montrer la chambre collée à la sienne.*

Il ouvrit la porte et je découvris une pièce assez bien entretenue, du parquet, un lit une place et demi, un bureau  et une armoire. Le strict nécessaire d’une chambre. Et visiblement celle ci avait une fenêtre donnant sur le jardin tout comme celle de Sanji à priori. Je souris et me tourna vers Sanji:

-Merci…Don juan. *amusé*

Sanji gonfla les joues et claqua ma porte après m’avoir poussé à l’intérieur de la pièce. Il était si contrarié qu’il arrêta ses vidéos pour en mettre d’autres…Plus…Osées. L’épaisseur des murs était vraiment fine et je pouvais l’entendre regarder des films porno…Visiblement il adorait les filles au vu de celle qui était en train de glousser sur son film. Mais j’entendis autre chose d’assez perturbant…Au bout de quelques minutes alors que je défaisais mon baluchon, j’entendis des gémissements plus masculins et qui ne semblaient pas venir de la vidéo…C’était ceux de Sanji. Je me sentais assez gêné d’entendre ça et le rouge aux joues commença à se montrer. J’essayais à tout prix de faire abstraction en me concentrant sur mon baluchon…Mais c’était compliqué. Je ne savais pas pourquoi ca me gênais autant. Après tout c’est ce que font tous les mecs, c’est ce que je fais moi aussi de temps en temps…Puis mon corps se raidit au moment ou il jouit. Mon cerveau était un peu trop curieux et devint très imaginatif…Imaginer Sanji en train de se branler ne me laisser pas de marbre. Je me frappa moi même au visage pour me remettre l’esprit en place et je continuais de déballer mes affaires. Avant de me déshabiller pour aller dans le lit…Ma première nuit dans cette maison fût assez tranquille, la fatigue a beaucoup aidée je penses…

Les mois passèrent et je m’habituais a cette famille. L’ambiance, le travail au restaurant, les bagarres avec Sanji ainsi que ses bons petits plats. Ça faisait presque 1 an que Zeff et Sanji m’avaient recueillis maintenant. Je m’y sentais bien et en plus je gagnais ma vie grâce à eux. Pour rien au monde je ne partirais d’ici. 

Nous étions un samedi soir et Sanji avait aidé toute la journée au restaurant. Son renfort était plus qu’utile car en général le samedi soir était le soir ou il y avait le plus de clients dans la semaine. Moi j’étais toujours à la plonge et j’aidais au service si y’avait besoin. . Il était  00h44 et les derniers clients venaient de payer leur note. Sanji et Zeff soufflaient et souriaient comme à chaque fins de service, lorsque soudain la porte en bois de l’entrée vola à travers le restaurant dans un grand fracas. Sanji se mit in extremiss devant Zeff et prit un projectile de bois qui s’était détaché de la porte dans les bras. Heureusement qu’ils les avaient mis devant son visage pour se protéger. Les projectiles rebondirent contre ses bras et je vins à ses côté avec deux grands couteaux de cuisine. On entendit un rire assez gras et sadique.

-Alors Sanji…On protège le vieux shnock? 

Rapidement la pièce fût envahit d’hommes identiques et fringués de la même manière, armés jusqu’aux dents. Environ une 15 aines. Un homme se démarqua, le pas lourd avançant en direction de Sanji.Il était blond avec de longs cheveux, deux grands yeux ronds gris noir et un espèce de casque doré sur le crâne, un gigantesque sourire sadique:

-Mon fils il est temps de rentrer à la maison. Ce taudis n’est pas ta maison.

Sanji eut les poings serrés, les veines qui pulsaient, l’air vraiment contrarié. Il hurla:

-Dégage d’ici enfoiré…Tu n’es pas le bienvenus.

Zeff quant à lui guettait un peu les « hommes guerriers » qu’il y avait dans la pièce et s’approcha près de moi pour me murmurer quelque chose:

-Zoro…Quoiqu’il arrive promets moi de protéger Sanji…Et de faire en sorte qu’il soit heureux…

Je ne comprenais pas pourquoi soudainement il se mettait à parler ainsi…Mais nos adversaires seraient-ils si puissants?

-Sanji voyons soit raisonnable…Tu ne m’as jamais était utile…Maintenant ca peut être le jour de ton heure de gloire…Tu peux te marier avec la fille de celle qu’on appelle Big Mom, tu sais la grande PDG de l’entreprise mondiale de Biscuits « Toto land ». Tu pourras être enfin utile à notre famille. Si tu refuses je mets cet endroit en miette. *dit il en prenant une chaise pour la briser sur la table devant lui.*

Je regardais Sanji il tremblait…Il était paralysé et totalement en colère. Je pouvais voir la frayeur dans ses yeux…Qu’avais pus lui faire cet homme…Zeff se mit devant lui , en rogne, mais il souriait.

-Tu ne me prendras pas mon fils adoptif pourriture. Sanji est le cuisinier du Baratie et ça même toi tu ne pourras rien y changer. 

Zeff sonna l’heure du combat en se ruant sur le grand blond avec un couvercle en fonte et un couteau de cuisine. Le blond répliqua et se défendait pour le moment, tandis que les autres hommes, au claquement de doigt de leur chef se ruèrent vers Sanji. Je m’interposas…

-Hey les soumis vous croyez aller ou la? 

Ils avaient l’air vraiment bien entraînés et commencèrent à m’attaquer du coup. Sanji fini par se réveiller de sa torpeur et commença à leurs mettre des coups de pieds, et il était franchement doué. Moi de mon côté je leurs infligeais des coups de couteaux assez violents. On les tenaient assez bien jusqu’à ce que Sanji me dise: 

-Marimo…Occupe toi d’eux… *D’un bond il se dirigeât vers Zeff qui était en train de se faire malmener par le grand blond.*

Je redoublais d’efforts pour tenir la quinzaine mais ça devenait compliqué, je commençais à subir des blessures par ci par là.  Puis d’un coup on entendit un coup de feu suivit d’un hurlement sourd de Sanji. Mon attention fût détournée d’une minute et une énorme plait me fût infligée de haut en bas de mon torse en diagonale…Je tombas au sol…Je pus voir avant de perdre connaissance Sanji effondré, genoux à terre, dans une marre de sang, tenant Zeff dans ses bras…

4 jours plus tard à l’hopital de Tokyo.

J’ouvris les yeux petit à petit mais j’avais un peu de mal et mon corps semblait engourdis. J’arrivais à peine à bouger les doigts…Sur ma main quelque chose de doux et d’humide à la fois remuait doucement…Je sentais des larmes et une peau douce. En ouvrant un peu mieux les yeux je vis une touffe blonde. Je bougeais un peu plus mes doigts pour toucher la joue de Sanji qui se réveilla en sursaut tournant le visage vers moi. Son visage était pâle et et creusé et il avait du pleurer énormément…Il me dis, tremblant:

-Zo…Zo…Zoro…Tu …Tu es enfin…Réveillé…. 

Il s’écroula sur moi et me pris dans ses bras en pleurant à chaudes larmes, il hurlait de toutes ses forces et tremblait contre moi. Je passas ma main difficilement dans son dos pour le caresser doucement et lui murmura peu sur de moi:

-Sanji…Tu es…Vivant…Ou est …Zeff?

Tout en pleurant il me répondit:

-Il…Il est mort sur le coup….Il…Lui a tiré dans le coeur….Ce stupide enfoiré…*dit-il en hurlant*

D’ailleurs je pouvais voir que ma chambre d’hôpital était bien gardée par des policiers. Sanji m’expliqua qu’après la mort de Zeff son père biologique avait rit en disant que maintenant qu’il était brisé il le lui servirait plus à rien. Mais que si il se sentait seul et abandonné il pouvait toujours implorer son pardon pour revenir vers lui. Côté police…Ils connaissaient très bien son père et il se trouve qu’il était le dirigeant de la plus grande organisation d’assassins du pays. Il était donc au service du gouvernement et par conséquent la police ne pouvait rien faire contre lui. La seule chose qu’ils avaient pus faire c’est surveiller ma chambre et fermer le Baratie à cause de ce qu’il s’y était produit jusqu’à ce qu’on puisse le remettre en ordre…Apparemment le restau a était dévasté par les hommes identiques et son père biologique après avoir tué Zeff…Je me sentais mal…Non pas que pour Sanji mais moi aussi je m’étais attaché à Zeff…Ma décision était prise je ne laisserais plus jamais quelque chose comme ça arriver. Je vais m’entraîner pour devenir le plus fort…Pour pouvoir le protéger…Comme me l’a demandé Zeff…Il m’expliqua aussi qu’il s’était enfui de chez lui étant enfant car son père voulait le faire devenir un assassin…Donc il se faisait torturer et battre alors qu’il ne voulait en aucun cas devenir un monstre…Il s’était enfuit et c’était Zeff qui l’avait recueillis lorsqu’il avait à peine  10 ans…Il lui apprit la cuisine et l’amour d’une famille ainsi que le principe de la galanterie.

-Zoro…Je t’en supplis…Ne me laisse pas seul… *Sanji sanglotait*

-Promis Sanji…Je ne te laisserais jamais quoiqu’il arrive…*Je le serrais contre moi comme je pouvais essayant de le rassurer au maximum.*

Le lendemain je sortis de l’hôpital pour participer à l’enterrement de Zeff. La cause officielle de sa mort restera une balle perdue lorsqu’il passait dans la rue  le soir en rentrant chez lui lorsque deux gangs réglaient leurs affaires…Notre vie à Sanji et moi fût transformée ce jour là…Suite à ça Sanji perdit son sourire et tomba en dépression. Il ne souriait que pour draguer des filles…Il devint un vrai « Don juan » de ces dames au lycée et ramenait souvent une fille différente à la maison pour oublier sa peine…Ca mêlé à l’alcool il en devenait presque désobligeant avec moi par moment…Il se mit aussi à fumer…Mais comment pourrais-je lui en vouloir…Je savais ce qu’il avait vécus…J’étais la ce jour là…Et je n’avais pas réussis à défendre Zeff correctement…Je ne pouvais rien dire je n’en n’avais pas le droit. Même si tous ça me tapais sur le système. J’avais d’ailleurs finit par faire du changement dans notre chez nous… J’avais fais installé un lit deux places dans la chambre de Sanji pour qu’il se sente plus à l’aise avec ses conquêtes et moi je dormais pour la plus part du temps dans le canapé après un verre de saké…Seul. Le canapé n’était pas vraiment confortable mais…Y’a des moments ou je ne supportais vraiment plus de les entendre batifoler dans sa chambre…Mon cœur me faisais mal comme à chaque fois… Je ne comprenais pas pourquoi…J’étais un adulte responsable et j’avais 3 ans de plus que lui…Pourtant mon coeur se serrait et l’ambiance était devenue èlectrique entre nous…Je finis aussi par me résoudre à installer un lit deux places dans ma propre chambre. fallait bien que je fasse ma vie moi aussi…

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